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Vertus et propriétés de la pierre Larimar, en lithothérapie
La pierre Larimar a une énergie douce, féminine, de nature "eau" et "bois" amenant de la légèreté et de la fluidité dans notre système énergétique. Deux facteurs sont déterminants pour comprendre son énergie : sa formation volcanique et hydrothermale d’une part, et sa teneur en calcium, d’autre part.
Le Larimar est la pierre la plus adaptée aux situations de colère ou de stress. Son énergie va apaiser, "refroidir" ce bouillonnement. La pierre Larimar est la pierre idéale pour retrouver la paix intérieure. L’ambition, la recherche du succès, l’exigence excessive envers soi-même, génèrent également beaucoup de stress et de tensions, ainsi qu’une tendance à l’hyperactivité. La pierre Larimar est également très adaptée aux personnes ambitieuses, très attachées à la réussite de leurs projets.
Cette pierre nous permet de rester plus sereins dans la mise en œuvre de nos objectifs et de nos projets. Il apaise la compétitivité, la rivalité et la tendance à se comparer aux autres.
Liée au chakra de la gorge, la pierre Larimar est très indiquée quand les problèmes de gorge (mal de gorge, angine, cordes vocales irritées…) ont une cause émotionnelle et sont liés à des "non-dits". Il aide à libérer cette énergie bloquée et à s’exprimer tranquillement.
Origine du nom de la pierre Larimar
En 1974, Norman Rilling, de l’armée américaine, et Miguel Mendez, Dominicain, trouvant cette pierre bleue en bord de mer, remontent le courant de la rivière Bahoruco jusqu’à "Los Checheses", emplacement actuel de la mine. Le nom de Larimar, donné alors à cette pierre bleue, provient de l’association du nom de la fille de Mendez "Lari (ssa)" et "mar" (mer, en espagnol).
Origine et formation de la pierre Larimar
D’abord, il y a eu l’île "d’Hispañola" émergeant des profondeurs marines. Puis, il y a environ 100 millions d’années, le massif montagneux de Bahoruco, formé de roches volcaniques, est à son tour sorti des eaux. Le magma incandescent, riche en éléments divers (silice, calcium, sodium, aluminium, fer…) a été projeté vers la surface de la croûte terrestre, d’abord sous forme visqueuse, puis plus fluide, constituant une phase liquide. Ces fluides chauds (jusqu’à 250 °C dans ce cas), appelés hydrothermaux, se sont infiltrés dans les passages laissés dans la roche préexistante, sous forme de fissures, de cavités ou de cheminées. Peu à peu, ces fluides se sont refroidis – d’autant plus vite que ce phénomène s’est déroulé près de la surface de l’écorce terrestre – se cristallisant pour former le minéral.
Ainsi s’est formé le Larimar, formation d’origine hydrothermale et secondaire.
Pour en savoir plus sur le Larimar, voir le livre de Gérard Cazals "La Quintessence des Pierres" (Éditions Guy Tredaniel) – pages 261 à 266.
Texte rédigé à partir du livre de Gérard Cazals – "La Quintessence des Pierres" (Éditions Guy Tredaniel) et protégé par copyright © Cristal’Essence.